LA DURABILITÉ DE BIRGER.

Valeur forte de BIRGER., la durabilité s’exprime de plusieurs façons à travers sa responsabilité sociétale d’entreprise (RSE) en interne et en externe. Et avec l’implication personnelle de ses collaborateurs dans des actions bénévoles au bénéfice de belles causes.

Reboisement de La Citadelle, site historique de Port-Louis, en 2019. Chaque employé de BIRGER. a mis en terre une plante indigène.

Si l’on parle de «Responsabilité Sociétale d’Entreprise» ou de «responsabilité sociale et environnementale» (RSE) ou encore de «Corporate Social Responsability» en anglais, tout cela renvoie au concept de durabilité. Concrètement, il s’agit de maximiser ses impacts positifs sur la société et de minimiser ses impacts négatifs sur l’environnement. D’accompagner également ses clients comme, par exemple, dans le cas de la lutte contre la «pollution numérique», qui demeure méconnue mais apparaît comme un fléau pour la planète (voir notre article page XII de notre supplement).

Réduire la consommation d’énergie tout en réduisant celle de papier est une priorité pour BIRGER.. Une priorité parmi d’autres, car rien n’est à négliger dans la recherche de la durabilité. À commencer par la formation et la création d’emplois. Dans ce domaine, le choix de BIRGER., qui est implanté dans l’océan Indien et en Afrique de l’Est, est de toujours se tourner vers des ressources humaines locales et de développer des partenariats avec des centres de formation et des universités locales (voir nos articles pages VI, VII et VIII de notre supplement).

Entre 2021 et 2022, on a enregistré une progression de 10 % du nombre de collaborateurs dans la région. À Madagascar, où BIRGER. connaît une forte croissance et va ouvrir un nouveau siège social, il est prévu une progression de 40 % du nombre d’emplois.

La création d’emplois pérennes est un acte fort de responsabilité sociétale d’entreprise, de même que la qualité de vie au travail qui passe par de futurs lieux pour collaborer, des lieux permettant plus d’échanges et de créativité (voir l’éditorial de Jacques Harel page II de notre supplement).

BIRGER. et ses collaborateurs s’impliquent régulièrement dans des actions de solidarité. En avril 2020, en pleine crise sanitaire de la covid-19, l’entreprise s’est associée au Rotary Club pour soutenir financièrement et fournir un ravitaillement alimentaire aux Mauriciens bloqués à Madagascar, en attendant qu'ils puissent être rapatriés. Toujours dans la Grande Île, en association avec le Lions Club, des cadeaux sont offerts chaque année, à Noël, aux enfants défavorisés. À Rodrigues, BIRGER. s’engage financièrement auprès d’associations, comme Caritas afin de soutenir les populations vulnérables et les enfants, en matière d’habitat, d’alimentation, de formation. 

Ses collaborateurs s’impliquent aussi personnellement sur une base de volontariat et de bénévolat dans une multitude d’actions dans la lutte contre la pauvreté, le soutien à l’éducation, à la santé et au sport.

En 2023, l’entreprise accompagne financièrement la fondation Fam-Unie, une ONG qui a vu le jour en 2022 à Maurice, dans la région de Cité La Cure, plus précisément à Ti-Rodrigues, village de Paul et Virginie. Fam-Unie est née de la volonté de transmettre des valeurs, des outils de vie et un accompagnement thérapeutique aux femmes défavorisées de la région. 

En 2023, BIRGER. soutient la fondation Fam-Unie, une ONG qui accompagne les femmes défavorisées de la région de Cité La Cure.

La fondation a déjà lancé de nombreuses activités. Mais une nouvelle étape devrait être franchise avec le soutien financier de BIRGER. : la création d’un centre de couture et d’artisanat ainsi que le lancement d’une activité agricole. Il s’agit de créer un jardin communautaire durable, dans lequel les légumes cultivés seront vendus à la communauté à un prix préférentiel. Ce jardin permettra aussi de cultiver des plantes aromatiques et médicinales qui seront ensuite transformées en tisanes et produits de beauté.

La plupart des collaborateurs de BIRGER. se sont portés volontaires pour s’impliquer personnellement dans ces projets.

Source:  JANVIER-FÉVRIER 2023 - Supplément de L’Éco austral n°375